lundi 7 septembre 2009

dimanche 23 août 2009

Synthèse Colloque Semons la diversité



"Avant, les semences appartenaient à ceux qui les récoltaient et les ressemaient.

Aujourd'hui les luttes se multiplient face à l'appropriation du vivant par les multinationales. Après les OGM insecticides et résistants à un herbicide, des OGM de deuxième génération ainsi que des plantes mutées ou issues de graines synthétiques pourraient bientôt envahir nos assiettes.

En octobre 2008, des paysans, jardiniers, consommateurs et citoyens se sont réunis pour sonner la riposte et initier le mouvement Semons la biodiversité ! En luttant pour le droit de conserver, ressemer, échanger et vendre les semences, ils veulent garantir l'existence d'agriculture paysanne et biologique, l'autonomie de la paysannerie et la souveraineté alimentaire.

Ce film fait parti du DVD édité par les semeurs volontaires.

Retrouvez dans ce DVD l'intégrale du colloque Semons la Biodiversité qui s'est tenu à Paris ainsi que des extraits de l'AG des faucheurs volontaires de juillet 2008.
Avec "Les élus receleurs et "Des ogm à Bollène".

Avec les interventions de Bob Brac de la Perrière, José Bové, Pierre-Henri Gouyon, Jacques Testart, Christian Vélot, Guy Kastler, Michel Dupont et Olivier Keller."

Semonslabiodiversite.org

vendredi 26 juin 2009

Le malheur est dans le prêt...

Documentaire - 2009
Retraçant la genèse de l'explosion de la bulle immobilière aux États-Unis, ce film montre à quel point cette crise était prévisible, voire prévue par certains.

La crise des subprimes américaine a eu des répercussions mondiales, de l'Ohio, région où la spéculation immobilière a été impressionnante, à l'Allemagne et la France, où le désarroi est grand, en passant par New York et Londres, incontournables places commerciales et financières. Victimes et acteurs de la crise racontent. Les témoignages des uns et les aveux des autres sont commentés par Peter Sloterdijk, philosophe, Friedhelm Hengsbach, spécialiste d'éthique sociale, ou Richard Sennett, sociologue, pour qui le néolibéralisme s'achève en «désastre économique et culturel». Et pour Peer Steinbrück, le ministre allemand des Finances, le pire est peut-être encore à venir.





mardi 5 mai 2009

L'armée des clowns...



le 14 juillet 2006, la Brigade Activiste des Clowns (BAC) a couronné son université d'été révolutionnaire, par un défilé mili-terre en marge du défilé matinal des clowns tristes.

contact : sylvain.jouanne@laposte.net

lundi 4 mai 2009

C'est gratuit de Pierre Merejkowsky



Le dernier film du cinéaste Pierre Merejkowsky. Cinéma La Clef, Paris, 22 février 2008

mercredi 29 avril 2009

Sale Nuit pour les don quichotte à Strasbourg



Plus d'info sur StrasTV
A voir aussi la version officielle Sale Nuit pour les Don Quichotte Ici ou Ici

Êtes-vous manipulé par la peur ?



Pour contrôler quelqu'un, pour le diriger il y a deux approches : La carotte et le bâton, la récompense ou la sanction.

Les pouvoirs (religieux, scientistes, politiques, financiers, industriels) qui cherchent à manipuler, dominer, contrôler utilisent la vanité pour la récompense et la peur pour la sanction.

Le collectif "Nos Libertés" vous propose un petit jeu :
Testez votre niveau de peur, afin de connaître votre niveau de soumission aux pouvoirs en place. Répondez par oui, ou par non à chacune des peurs présentées, et faites le total de vos "oui".

Pour aller plus loin, cliquer : Ici

La propagande rend esclave, l'information rend libre.

mardi 28 avril 2009

La révolte des fourmis blanches...

Manif anti-écolo lors du Grenelle...



Le 29 septembre 2007, des faux militants anti-écolos se réunissaient pour dénoncer le Grenelle de l'Environnement.

lundi 27 avril 2009

Liberté, Egalité, Préjugé



Court métrage réalisé en juin 2007 par parcage_prod traitant des préjugés que nous pouvons avoir les uns les autres au quotidien.

Qui sont les Pirates en Somalie ?



Avec neuf millions d’habitants et une côte longue de 3 300 km, la Somalie est, depuis 1991, un patchwork formé au sud par la Somalie proprement dite, au nord-ouest par le Somaliland bordant le Golfe d’Aden et au nord-estpar le Puntland, région semi autonome perchée sur sa corne. Dans chaque zone, la situation diffère, le nord-est et le sud, étant les plus instables.

Comme la majorité des pays africains décolonisés - dans les conditions lamentables que l’on sait - la Somalie a sombré dans le chaos puis la guerre civile. S’en est suivi une terrible famine et, en 1992, l’intervention, sous l’égide de l’ONU, d’une force militaire internationale à prépondérance américaine qui, se retrouvant en position d’échec, dut quitter les lieux en laissant le pays en proie à l’anarchie.

Des vérités pas très bonnes à révéler...

C’est dans les années 80 qu’apparaît la piraterie, tout d’abord sous l’instigation de simples pêcheurs réagissant à l’incursion de navires étrangers pénétrant illégalement dans les eaux territoriales somaliennes. Malheureusement, ce système d’autodéfense se transforme peu à peu en un business lucratif et, suscitant des envies, dégénère en gangstérisme. Ce que réfute pourtant l’un des leaders des pirates, Sugule Ali qui affirme : « Nous ne nous considérons pas comme des bandits. Ceux qui sont des bandits, [sont] ceux qui pêchent dans nos mers et s’en servent comme dépotoirs ».

Lire la suite : Ici

vendredi 24 avril 2009

Dépendance



Samuel un jeune étudiant parisien de 24 ans mène une vie paisible avec sa petite amie Vanessa. Quelque peu hors de son temps, Samuel se refuse à faire usage de la haute technologie.
Cependant une rencontre va bouleverser leurs vies.

Dépendance est un court métrage à très faible budget produit par un groupe d'amis. Il a été essentiellement filmé ( à plus de 80% ) avec une caméra grand public canon, le modèle hv20, puis avec une canon xha1 pour le reste. Les deux caméras étant équipé du Chrome35, kit mini35 fait maison.
Ce système optique placé devant la caméra permet d'avoir un rendu pellicule en filmant avec des caméras vidéo, cassant la froideur du rendu numérique. Il apporte notamment une réduction de profondeur de champs par l'utilisation des objectifs photos qui s'adaptent dessus, renforçant ainsi l'effet désiré.

Plus d'infos et photos du tournage sur : Ician

mercredi 8 avril 2009

Les génies de la Folie par Philippe Brenot

LES CHOSES DE LA PSY. Les génies de la folie - Nouvel Obs
Associer la folie au génie créateur est un lieu commun. Mais, la relation n`est pas toujours évidente. Accompagnée de Philippe Brenot, auteur du "génie et la folie", Ursula Gauthier décrypte les prédispositions de chaque type d`artistes.

mardi 7 avril 2009

Michel Maffesoli et les nouvelles spiritualités


Michel Maffesoli dirige la chaire de sociologie Durkheim à la Sorbonne. Il se dit être "le spectateur attendri de ce qui est" et s'est donné comme tâche de "trouver les mots pour dire notre temps". Il nous parle ici de la place des nouvelles spiritualités et de l'émergence de nouvelles formes de rapports humains dans notre société en mutation.

lundi 6 avril 2009

Festival Sciences Frontières...



Quelques expériences et réflexions ...
La communication des plantes
L'Unité et la reliance de toutes choses
La pensée négative et les maladies
La télékinésie ?

vendredi 27 mars 2009

Bigdogs...un robot qui vous veut du bien...


Regardez déambuler cette étrange bête, qui n’est pas sans grâce. Ce n’est pas une oeuvre d’art, mais un auxiliaire militaire. Un robot, baptisé « BigDogs » (GrosChiens), que l’armée américaine a décidé de tester en Afghanistan.

Il a été conçu par la société Boston Dynamics « dédiée à la façon dont les choses se meuvent ». C’est une machine qui fonctionne à l’essence. Mais si elle fait un bruit de tondeuse à gazon, la comparaison s’arrête là : c’est un robot bourré d’informatique et de capteurs, qui encaisse sans trébucher les bosses et les creux.
Selon Boston Dynamics, cité par le site de FoxNews, il peut marcher à plus de 6 km/h, ou alors tout doucement, grimper des pentes à 35 degrés, coucher, inspecter les environs. Il peut transporter « 140 kilos d’équipements ». Y compris, j’imagine, des armes. Un soldat idéal : pas besoin de le nourrir ou de prévoir des temps de repos. Et s’il tue un jour, ce sera froidement.

La guerre en Irak a dopé le marché des robots
C’est la guerre en Irak, dont le théâtre a été largement urbain, qui a relancé l’intérêt pour les robots. Dans une ville, les militaires ont besoin d’yeux pour détecter les dangers. J’ai assisté un jour à la présentation d’un de ces robots militaires, le « swords ». C’était en 2005, dans une base militaire du New Jersey : la machine qui nous était alors présentée était déjà impressionnante. Mais en quatre ans, à voir cette vidéo du BigDog, les progrès ont été énormes.

Avec le recul, le truc à chenilles que j’avais vu ressemblait à une machine des aventures de Joe Zette et Jocko ; les BigDogs, eux, se rapprochent des quadripodes impériaux de StarWars. Les militaires et les ingénieurs qui présentaient les Swords étaient formels : jamais ces machines ne pourraient actionner seules des tirs contre des ennemis. Bob Quinn, directeur de la robotique militaire chez Foster-Miller, le fabricant, me rassurait ainsi :

« Au lieu d’avoir son arme à l’épaule, le soldat la manipule à 500 mètres en arrière, voilà tout. Il n’a pas le stress des balles qui sifflent autour de sa tête. »

L’apparition de ces robots, selon de nombreux experts, est pourtant le prélude d’une inéluctable révolution dans « l’art » de la guerre, un tournant comparable à la découverte de la poudre. Car la frontière est ténue entre un ordre simple donné par télécommande à un robot (« Tire dans telle direction ») et un ordre plus complexe (« Entre dans cet immeuble et tue tout ce qui est vivant et qui mesure plus de 1,30 mètre »).

En attendant l’intelligence artificielle
Si la tentation de fabriquer des robots autonomes est très forte, m’avait déclaré avec lucidité John Pike, directeur de globalsecurity.org, c’est parce qu’ils permettront enfin de résoudre un des principaux casse-tête de la guerre, le fait que les soldats ont énormément de mal à tirer sur d’autres êtres humains :

« A la différence de ce qu’on voit dans les films, ils ne déchargent pas souvent leurs armes, et lorsqu’ils le font, ils tirent souvent sans vraiment viser l’ennemi. Leur instinct naturel les pousse à ne pas faire souffrir ni tuer. Une bonne partie de la formation des soldats de l’infanterie consiste à les déconditionner pour les rendre capables de tuer. Mais c’est très difficile. Les robots, eux, seront sans merci, sans remords. »

Même si elle n’est pas pour aujourd’hui, la question de l’autonomisation des robots finira par se poser. Et avec elle, celle de la programmation de « limites morales » à ses propres décisions. Au commencement, les robots auront une éthique rudimentaire : n’obéir qu’à des humains, ne tirer que si telles ou telles conditions sont réunies, etc. Mais un jour, le robot pourra lui-même s’interroger sur ses propres décisions : « Si j’agis ainsi, est-ce mal ? »

Source : News of Tomorrow

dimanche 8 mars 2009

Eugénisme et Génie Génétique...



Le 19 février 2009, "Envoyé Spécial" consacrait un reportage intitulé "un rêve sans fin" à l'humanité du futur, dont les performances et la longévité seraient décuplées par les prouesses de la génétique et des nanotechnologies. Dans les dernières scènes de ce film, tournées à la faculté de médecine de Paris en juillet 2008, apparaît un « obscur petit groupe » venu interrompre une conférence. De lui, on n'apprend rien, sinon qu'il est violent et antidémocratique. Passons sur la prétendue violence, réfutée par les images mêmes du documentaire. L’important est de rappeler ici que c’est au nom d’une démocratie possible que nous avons dénoncé, comme nous continuerons à le faire, les prétentions totalitaires de la génétique.

Dans cette conférence sympathiquement intitulée « l'homme transgénique : un infini, des possibilités », J.-C. Weil et M. Radman exposaient leurs travaux : induire chez les souris, et plus tard chez les humains, des mutations génétiques permettant de retarder l'apparition du cancer et de prolonger la durée de la vie humaine bien au-delà de cent ans.

Loin d'être un simple débat d'idées, comme le dit la journaliste, cette conférence était un exposé des recherches actuellement menées par les principaux instituts scientifiques français. Ces expériences y sont financées à hauteur de centaines de millions d'euros par les fonds publics et les entreprises de biotechnologie. Il ne s'agit donc pas d'idées, mais de réalisations bien concrètes qui déterminent la manière dont on voudrait nous faire vivre demain. La force de frappe des biotechnologies semble assez bien démontrée par l'impuissance à laquelle sont réduits tous ceux qui s'opposent à la diffusion des plantes génétiquement modifiées dans le milieu naturel et dans l'alimentation.

En somme, si les recherches en génétique n'avaient pas une telle puissance d'action sur le monde via le soutien actif de l'Etat et leur valorisation immédiate par les firmes de biotechnologie, si elles n'étaient pas financées par nos impôts, s'il s'était agi, donc, d'un simple débat philosophique, nous ne nous serions peut-être pas dérangés.

Replaçons cette conférence dans son contexte. Il est maintenant avéré que les dégâts provoqués à notre milieu de vie par l'industrie induisent une épidémie de cancers, d'allergies et de maladies nouvelles. L'institution scientifique, loin de s'interroger sur les causes de ces maux, s'attache à bricoler les humains pour les adapter à leur environnement pathogène. Pas de panique, Mesdames et Messieurs, nous avons la solution à tous vos problèmes, l’ultime synthèse, la fin de l’Histoire : l'homme transgénique. Déjà, l’abondante production laborantine d'animaux transgéniques sert, entre autres choses, à étudier quelles mutations devront subir les humains pour cohabiter avec la radioactivité, la pollution chimique et électromagnétique, etc. D'ailleurs, il ne s'agit pas seulement d'adapter l'humain, mais de l'améliorer. En gommant certains de ses « défauts » (disaient les conférenciers ce jour-là), comme celui de ne pas vivre au-delà d'une petite centaine d'années. Puis, par le biais du diagnostic pré-implantatoire, de s'assurer qu'il ne souffre pas de tares. Ensuite, d'augmenter ses « performances », selon les critères en vigueur. C'est notamment ce que dit le généticien Daniel Cohen, bien placé, comme Weil et Radman, dans les institutions scientifiques : Je crois en la possibilité d'une nouvelle évolution biologique humaine consciente et provoquée, car je vois mal l'homo sapiens (...) attendre patiemment et modestement l'émergence d'une nouvelle espèce humaine par les voies anachroniques de la sélection naturelle. L'industrie de la biotechnologie est bien placée pour tirer un profit maximal du travail de ces darwinistes pressés... de devenir vraiment eugénistes.

Nombre de biologistes ont la mauvaise habitude de confondre l'évolution des espèces et celle des sciences. Pour eux, la biologie prend naturellement le relais de l'évolution millénaire des êtres vivants. Et puisque cette évolution est « naturelle », la récuser n'a aucun sens. C'est précisément ce que dit Miroslav Radman dans ce reportage, quand il commente notre intervention : « S'il y avait eu cette peur du changement au début de la vie, il n'y aurait aujourd'hui que des bactéries ». Une remarque emblématique de l'arrogance naïve des généticiens, qui se prennent pour les concessionnaires d'une aventure commencée il y a 3,5 milliards d'années. Au regard de ce que la science industrielle a réussi à faire de la planète en quelques décennies seulement, des processus incontrôlables qu'elle a déclenchés dans la nature au moment même où elle prétendait la maîtriser, nous pensons qu'il est pour le moins raisonnable de s'opposer à ces recherches. Et ce, avant qu’un comité de sages présidé par les mêmes ne vienne dûment encadrer le fait accompli et le certifier « éthiquable ».

Nous n'avons pas peur du changement. Pour la bonne raison que ce que propose aujourd'hui la génétique, ce n'est pas le changement, mais la continuation du monde tel qu'il va, en pire : des pollutions ingérables, l'objectivation croissante des individus, le remplacement de la politique par des pseudo-impératifs techniques. Quand le capitalisme industriel promet longévité et santé, nous serions tentés de ne pas le croire et de juger sur pièce. Du reste, dans un monde où le fichage génétique s'étend paisiblement, les promesses de longévité deviennent vite prouesses d'aliénation.

Nous disons donc que le véritable changement, à rebours des lendemains radieux promis par la biotechnologie, réside dans notre capacité politique à associer les tares des uns et des autres pour produire de la dignité et de l'autonomie.

Groupe Oblomoff
OGM Dangers : site web

jeudi 5 mars 2009

Le Robot



Le Robot est l'homme moderne façonné par les industriels.

La religion de ceux qui nous dirigent est le business de la guerre :
- Guerre contre les microbes (industrie pharmaceutique)
- Guerre contre les insectes (industrie chimique)
- Guerre contre la biodiversité et le gratuit (industrie génétique)
- Guerre contre les humains (industrie de l'armement)
- Guerre totale (industrie nucléaire)
- Guerre contre les petits producteurs (industrie agro-alimentaire et distribution)
- Guerre psychologique (industrie des médias)
- Guerre pour la modernité et le renouvellement (société de consommation)

Leurs valeurs sont :

Sécurité (police)
Modernité (industrie)
Efficacité (guerre)

Ou : Production (industrie), Consommation (industrie), Télévision (industrie)

vendredi 20 février 2009

Dialogues avec Bernard Stiegler...



Pour le philosophe Bernard Stiegler, par ailleurs directeur de l’Institut de recherche et d’innovation, la jeunesse, notamment délinquante, est avant tout victime de la déstructuration des liens sociaux par les industries de contenus. Il en appelle à l’ouverture d’une réflexion nationale pour un nouveau projet éducatif.

jeudi 19 février 2009

Malbouffe et cancer...



Guy Dauncey, "Sustainable future, author, speaker and consultant" présente le travail de recherche de Gerry Potter sur les connexions entre le cancer et l'alimentation.

mardi 17 février 2009

Miguel Benasayag, Tarnac et l'antiterrorisme



Miguel Benasayag, philosophe et psychanalyste, évoque l'affaire des inculpés de Tarnac. Après avoir proposé une définition du terrorisme, il explique le rôle de la figure du terroriste pour le pouvoir, la diffusion de la pensée Guantanamo et l'émergence du bio-pouvoir.

samedi 14 février 2009

Sous les pavés la terre...


Documentaire environnementaliste, «Sous les pavés, la Terre» survient, dans un contexte devenu très déprimé, comme une bouffée d'esprit rebelle, mais sans caricature ni vaine orientation.

Naviguant entre constats alarmants et propositions concrètes dans les domaines de l'agriculture, du transport et de l'habitat, ce film incite à la réflexion de chacun d'entre nous et, plus encore, à une profonde refondation de nos modes de vie.

Paysans, artisans, scientifiques, philosophes et politiques. Ce film expose leurs combats, face aux sarcasmes de leurs pairs, aux pesanteurs des administrations, à la frilosité des banques et des assurances, aux lobbys ne voulant renoncer à leurs confortables avantages.

Dates et lieux des projections sur www.brutprod.com

vendredi 13 février 2009

Homo Toxicus


Une expérience planétaire est en cours et nous en sommes les cobayes. Chaque jour, des tonnes de substances toxiques sont libérées dans l’environnement sans que nous en connaissions les effets à long terme pour les êtres vivants. Certaines d’entre elles s’infiltrent à notre insu dans nos corps et dans celui de nos enfants. En même temps que notre patrimoine génétique, nous transmettons aujourd’hui à nos enfants notre patrimoine toxique.
Une enquête inédite, menée avec rigueur et humour !

Plus d'infos :
http://voiretagir.org/spip.php?article72

jeudi 12 février 2009

Alerte à Babylone...

Damon Albarn et the Honest Jon's Revue


"Sunset's coming on" interprété par Damon Albarn et tous les musiciens de sa Honest Jon's Revue. Une exclusivité des Nuits de Fourvière 2008.

samedi 24 janvier 2009

jeudi 22 janvier 2009

dimanche 11 janvier 2009

Sans Terre et sans reproche...



Bande-annonce du film documentaire
« Sans terres et sans reproches »

Synopsis: un voyage chez les paysans résistants du Quercy, au cœur du parc Naturel des Causses, à l’heure de la mondialisation de l’industrialisation de l’agriculture et de la baisse du nombre d’installation agricole. Qui se cache derrière nos assiettes et qui s’installe ? Rencontres locales pour le constat d’une guerre mondiale…

Images et réalisation: Eric Boutarin et Stéphanie Muzard Le Moing
Tous public
Durée: 52 minutes
Production: ADDOCS, la Télévision paysanne, l’Atelier des Muses
Musiques: Denis Mignard, Steve Shehan

Avec le soutien et la complicité de:
Préface:
Christian Vélot, chercheur, maître de conférences en génétique moléculaire université Paris-Sud, responsable d’une équipe de recherche à l’Institut de génétique et microbiologie d’Orsay … et lanceur d’alerte. http://sciencescitoyennes.org
Bernard Cavalié (ULM), Steve Shehan, musicien polyinstrumentiste
http://www.steveshehan.com, …
et l’aide précieuse de quelques citoyens !

Bon de commande et informations disponibles sur www.latelevisionpaysanne.org
contact: atelierdesmuses@wanadoo.fr
Eric.Boutarin@free.fr

samedi 10 janvier 2009

Semons la Biodiversité...

REUNION PUBLIQUE sur le thème Semons la Biodiversité contre le fichage génétique et la privatisation du vivant
Avec Bob Brac de la Perriére, Christian Vélot (enseignant chercheur en génétique moléculaire), José Bové (syndicaliste paysan) Jacques Testart (Critique de Science) et Guy Kastler (paysan)

1ere partie ci dessous...


2ème partie

3ème partie

Plus d'infos : Ici

mardi 6 janvier 2009

Près d'ici...



Imaginez une ville d'environ 65 000 habitants ..

En septembre 2007, Rue89 avait publié un diaporama de photos prises dans le quartier disciplinaire de Fleury-Mérogis. Nous vous proposons de regarder une nouvelle fois cet état des lieux en images. Edifiant. http://les-batisseurs-d-abimes.over-blog.com/article-25962760.html

lundi 5 janvier 2009

La cellule invisible de Tarnac...



Taïga.Une opération à double détente
En s'attaquant à Julien Coupat et à ses amis, l'Etat savait très bien qu'il provoquerait des réactions d'hostilité visibles. Il le savait d'autant mieux que c'est sa police qui a mené toute l'affaire, de l'infiltration au "sabotage" lui-même et qu'évidemment elle "savait tout" sur Coupat. D'autres "anarcho-autonomes d'ultra-gauche nihiliste" sont déjà emprisonnés depuis quelques mois, eux aussi accusés de terrorisme, mais qui s'en soucie en dehors du petit milieu des "militants" radicaux ?
Il fallait un exemple, un exemple médiatique et le coup a été bien préparé au ministère de l'intérieur pour le 11 novembre, une mise en scène formidable et déjà plus d'un mois de prison (en tant que D.P.S.) pour Julien Coupat et Yldune Lévy, et cela sans aucune preuve. Julien Coupat et ses amis écrivent, et ils écrivent bien. Et c'est bien cela que leur reprochent l'Etat et sa police politique. Ne pouvant encore censurer tous les écrits qu'il voudrait interdire, l'Etat enferme leurs auteurs sous des accusations fallacieuses.
Finalement, avec cette opération l'Etat veut montrer qu'il peut enfermer n'importe qui, même des "intellectuels", enfants d'une classe "moyenne supérieure", soutenus par d'autres "intellectuels" reconnus, en les accusant de n'importe quoi.
L'Etat se moque bien d'apparaître arbitraire, stupide et de porter des accusations délirantes, comme qualifier de terrorisme des "actes de malveillance". Au contraire, c'était son objectif.
Dans les temps troublés qui s'annoncent, cette opération est la "première" offensive de l'Etat et de sa police médiatique contre ceux qui refusent l'existence absurde qu'on leur impose, ceux qui ont choisi de "déserter" le désert et de construire autre chose.
L'Etat veut faire PEUR, c'est son essence même d'être terroriste.
"C'est seulement en se libérant de la peur que la société pourra s'édifier dans la liberté." Durruti
"Appel"
Plus d'infos : Ici

samedi 3 janvier 2009